Saturday, March 08, 2025

La Vie devant moi / The Future Awaits


Nils Tavernier: La Vie devant moi / The Future Awaits (FR 2025) with Guillaume Gallienne (Moshe Zylbersztejn, le père), Violette Guillon (Tauba Zylbersztejn), Adeline d'Hermy (Rywka, la mère).

  
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    FR 2025 - sociétés de production : Apollo Films Production / Echo Studio Production / Federation Studios Production / Bonne Pioche Cinéma Production
Réalisation : Nils Tavernier
Scénario : Nils Tavernier, Guy Birenbaum, Laurent Bertoni
Photographie : Vincent Gallot
Décors : Mathieu Menut
Costumes : Alice Cambournac
Musique : Baptiste Colleu, Pierre Colleu
Montage : Thomas Beard
    Distribution
Guillaume Gallienne : Moshe Zylbersztejn, le père
Violette Guillon : Tauba Zylbersztejn
Adeline d'Hermy : Rywka, la mère
Sandrine Bonnaire : Rose, l'épouse Dinanceau
Laurent Bateau : Désiré
Rod Paradot : Alfred
Claude Mathieu : Marta
Bernard Le Coq : le médecin hôpital
Xavier Mathieu : le médecin débarras
Éric Savin : Propriétaire appartement
    Durée : 93 minutes
    Langue originale : français
    Genre : drame biographique et historique
    Date de sortie : France : 26 février 2025 - Apollo Films
    Vu samedi, le 8 mars, UGC Ciné Cité Les Halles, Pl. de la Rotonde Forum des Halles, accès Porte du Jour, M° Les Halles, Ligne 4, Paris 1er

Wikipédia: " La Vie devant moi est un film français coécrit et réalisé par Nils Tavernier et sorti en 2025. Il raconte la vie à Paris sous l'Occupation entre 1942 et 1944 de Tauba Zylbersztejn (1928-2009), alors adolescente. "

Synopsis : " Après avoir échappé à la rafle du Vél d’Hiv au matin du 16 juillet 1942, la jeune Tauba Zylbersztejn et ses parents, juifs polonais, trouvent refuge dans une chambre de bonne au cœur de Paris au 209 rue Saint-Maur dans le 10e arrondissement. Durant deux ans, à de rares exceptions près, la famille n’en sortira plus. Mais comment vivre confinés à trois dans six mètres carrés avec la crainte terrifiante d’être découverts à chaque instant ? "

Autour du film : " La vie de Tauba Zylbersztejn a précédemment fait l'objet d'un documentaire de Ruth Zylberman, Les enfants du 209 rue Saint-Maur Paris Xe, diffusé sur Arte en 2018, et d'un livre du même nom publié en 2020 aux éditions du Seuil. Tauba Zylbersztejn est l'épouse du résistant Robert Birenbaum et la mère de l'écrivain Guy Birenbaum, coscénariste du film. La bande-annonce du film, mise en ligne le 9 janvier 2025, s’ouvre sur un extrait vidéo d'un entretien avec Tauba Zylbersztejn réalisé en 1997. Il s'inscrit dans le cadre de la collecte initiée par le réalisateur américain Steven Spielberg et la Fondation Shoah visant à recueillir les témoignages des rescapés de la Shoah. La sortie du film s'accompagne de celle d'un roman du même nom écrit par Guy Birenbaum aux éditions Flammarion. "

AA: Nils Tavernier's La Vie devant moi is a true story of a Polish family of survivors of the Vel d'Hiv razzia in the 10th arrondissement of Paris.  It has been the subject of interviews, books and documentary films.

An important Jewish community flourished around the rue Saint-Maur and the rue du Faubourg-du-Temple before the Nazi occupation. 

The Zylbersztejn family is saved by Rose (Sandrine Bonnaire). Over 765 days they hide in a maid's room in the attic. A visit to the toilet is a daily suspense thriller. The father hurts his leg and has to be hospitalized to avoid gangrene.

The movie is a coming-of-age story of the daughter of the family, Tauba Zylberstejn (Violette Guillon), in a parallel to The Diary of Anne Frank, but different in many profound ways. Tauba got married with the resistance fighter Robert Birenbaum, and their son Guy Birenbaum is a co-screenwriter of La Vie devant moi.

Tauba discovers a way to access the rooftop via the toilet ceiling window. There she takes clandestine survey treks of the surroundings, a bit like Lieutenant Fontaine in Un condamné à mort s'est échappé. But Tauba has a 360° vision of the Paris skyline. The wind of freedom in the suffocating custody. There is a visual affinity to the George Stevens film adaptation of The Diary of Anne Frank, in which a recurrent motif is of the birds in the sky. 

Because the true story is extraordinary, the selected approach is ordinary, sans brio, sans panache. 

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