Élie Semoun: Ducobu passe au vert ! (FR 2024) avec Élie Semoun (the teacher Latouche) et Damien Pauwels (Ducobu). |
Wikipédia: Fiche technique
Réalisation : Élie Semoun
Scénario : Élie Semoun, Marc de Chauveron et Guy Laurent, d’après la bande dessinée de Godi et Zidrou
Musique : Matthieu Gonet
Décors : Pascalle Willame
Costumes : Audrey Wilmotte
Photographie : Thomas Rames
Son : Pascal Jasmes
Montage : Sandro Lavezzi
Sociétés de production : TF1 Films production - UMedia - Les films du 24 - Les Films du Premier
Société de distribution :
France : UGC Distribution
International : UGC International
Pays de production : Drapeau de la France France
Budget : 9,6 millions d'euros
Langue originale : français
Format : couleur — 1,85:1
Genre : comédie
Durée : 81 minutes
Dates de sortie :
France : 3 avril 20242
Belgique : 3 avril 2024
Distribution
Damien Pauwels : Ducobu
Élie Semoun : Gustave Latouche / Ghislaine Latouche, mère de Gustave Latouche en maison de retraite
Émilie Caen : Ghislaine Rateau, la professeure de musique
Loïc Legendre : Hervé Ducobu, le père de Ducobu
Frédérique Bel : Adeline Gratin, la mère de Léonie Gratin
François Levantal : le directeur de Saint-Potache
Gérard Jugnot : Kitrish, gérant du magasin « Kitrish »
Nicolas Marié : Patrick Moisi
Simon Torreton
Roman Doduik: un influenceur
Hicham Smile: un influenceur
Louise Riguidel Huon : Léonie Gratin
Anaïs Barba de Calignon : Karine, l’amie de Léonie
Caroline Anglade : Fiona
Viewed at UGC Montparnasse, 83 bd du Montparnasse, 75006 Paris, le 5 avril 2024
UNIFRANCE SYNOPOSIS:
" Nouvelle rentrée a St Potache. Cette année Ducobu a une idée de génie : prendre une année sabbatique pour sauver la planète mais surtout pour sécher l’école ! "
" Mais Latouche ne compte pas le laisser faire si facilement… "
" Tricheur et écolo, c’est pas du gâteau ! "
AA: Ducoby passe au vert ! [literally: Ducoby Goes Green] is the third entry in the successful Ducoby series based on a comic strip by Godi and Zidrou.
Comedies about rascal children have been popular since early cinema, probably invented at Films Éclair in 1910 in the Willy series starring William Sanders. Dennis the Menace might be the internationally most famous example of the phenomenon.
I wanted to see this comedy because of the ecocatastrophe theme.
Ducoby himself is a walking catastrophe, always instilling mayhem, planning practical jokes and inventing new ways to crib and cheat.
When pupils are asked to present their idol to the class, Ducoby's choice is the sloth. Another pupil introduces Greta Thunberg.
Clearly, Thunberg is the more popular choice, and soon the whole school goes green, and even at home, vegetarian food is being favoured. A bus takes the whole class to the beach to collect trash for recycling.
When a nearby park is threatened because it is being redeveloped for a giant parking complex, the school is mobilized to an ecological war against the development in full Asterix style.
Charles Chaplin taught us that the biggest laughs can be found in the most serious issues. Élie Semoun directs the film in caricature and with a slapstick approach. He has a lot of fun with green-washing and Ducoby's initially fake écolo attitude. As a foreigner I miss much of the jokes, "but the écolo école" concept is great.
BEYOND THE JUMP BREAK: DATA FROM UNIFRANCE:
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GÉNÉRIQUE DÉTAILLÉ (16)
VOIR
Producteur délégué : Romain Rojtman
Adaptation : Guy Laurent, Élie Semoun, Marc De Chauveron
Scénaristes : Guy Laurent, Élie Semoun, Marc De Chauveron
Dialoguistes : Guy Laurent, Élie Semoun, Marc De Chauveron
Directeur de la photo : Thomas Rames
Auteur de la musique : Matthieu Gonet
Monteur : Sandro Lavezzi
Ingénieurs du son : Pascal Jasmes, Olivier Mortier, Raphaël Seydoux
Costumes : Frédérique Leroy
Auteurs de l'oeuvre originale : Zidrou, Godi
Directrice de production : Sophie Casse
Scripte : Élisabeth Alexandris
Décors : Tom Darmstaedter
Directrice de casting : Marie-France Michel
Etalonnage : Arnaud Laurent
Responsable de la post-production : Faustine Perrio
Mentions techniques
Type : Long-métrage
Genre(s) : Fiction
Sous-genres : Comédie
Langue de tournage : Français
Origines : France (77.46%), Belgique (22.54%)
EOF : Oui
Nationalité : Majoritaire français (France, Belgique)
Année de production : 2024
Sortie en France : 03/04/2024
Durée : 1 h 22 min
Etat d'avancement : Sorti
Numéro de visa : 160.508
Agrément : Oui
Type de couleur(s) : Couleur
Cadre : 1.85
Format son : 5.
...
DOSSIER DE PRESSE
ENTRETIEN AVEC ÉLIE SEMOUN
Voici donc les nouvelles aventures de Ducobu au cinéma : c’est
désormais une vraie franchise, une saga !
C’est une aventure assez unique et vous avez raison d’employer le mot de « saga » : il nous en reste 3 à faire pour égaler «Harry Potter » ! Plus sérieusement, c’est mon 3e film en tant que réalisateur et donc le 5e en tant qu’acteur Mais à chaque fois, je vis une expérience différente. J’ai réalisé Ducobu 3 dans une sorte d’insouciance totale, en me jetant dans l’histoire... Pour DUCOBU PRÉSIDENT!, c’était un peu plus difficile parce que d’un coup je me suis rendu
compte que faire un film est une entreprise assez ardue ! Et avec celui-ci, c’est
un peu comme si je commençais à apprendre ce qu’implique un travail de réalisateur. Je me suis rendu compte qu’on pouvait aller plus loin, faire plus de plans,
avoir la possibilité de tenter des choses, de se tromper et de recommencer.
L’histoire de Ducobu au cinéma pourrait en fait durer très longtemps car ces
personnages ne vieillissent pas, à l’image d’Astérix ou de Tintin. Je suis certain
qu’il y a encore des choses à explorer.
Les précédents films ont tous été des succès à plus d’un million
d’entrées, il fallait donc trouver une bonne idée et c’est celle
du basculement écolo de Ducobu qui s’est imposée.
Sur le précédent film, je me suis rendu compte que les enfants étaient particulièrement sensibles et attentifs à de nombreux détails liés à l’écologie, c’est
là où j’ai compris que ces gamins avaient une vraie « conscience écolo» : entre
10 et 13 ans, c’est une génération très concernée par les questions environnementales. Ce sujet d’actualité les concerne et les inquiète puisque ça ne va
malheureusement pas s’améliorer et j’y ai vu l’occasion d’une comédie qui
puisse aussi dire des choses.
À partir de ce sujet de départ, de quelle manière imaginez-vous
ensuite votre histoire ?
Nous sommes partis du personnage de Ducobu qui reste un petit filou et dont
l’idée fixe est de continuer à rater l’école ou à en perturber le fonctionnement !
Nous l’avons donc imaginé faire semblant d’être écologiste pour manquer les
cours, à l’image de Greta Thunberg qui, (depuis ses 13, 14 ans), n’est plus allée
en classe pour se consacrer à son combat. Et si Ducobu faisait la même chose ?
Évidemment, tout ceci au départ n’est que pur opportunisme : il n’est pas du
tout écolo dans sa vie de tous les jours. C’est en cherchant un prétexte pour
éviter l’école qu’il va peu à peu prendre conscience de l’urgence.
Ce qui est intéressant, c’est qu’au niveau de votre mise en
scène, cette problématique environnementale vous pousse
aussi à sortir des murs de l’école où se déroulaient les films
précédents.
En effet, après plusieurs films à Saint-Potache, nous n’avions qu’une envie : élargir notre terrain de jeu ! C’est valable pour la mise en scène mais aussi pour les
personnages que nous voulions sortir de leur carcan et de leur décor habituel.
C’est de là qu’est née l’idée du square des Lilas avec le méchant de l’histoire,
Patrick Moisi, incarné par Nicolas Marié. C’est un cadre exceptionnel qui nous
a permis de faire des scènes assez spectaculaires dans l’esprit des MAMAN
J’AI RATÉ L’AVION, HOOK… Des films cultes pour toute une génération
d’enfants.
Celui qui incarne cette fois Ducobu, c’est un jeune comédien
belge : Damien Pauwels.
Encore une fois, nous avons fait un très gros casting pour ce film, à partir
de milliers de candidatures reçues. J’ai dû voir une centaine d’enfants et c’est
Damien qui s’est vite imposé. J’ai d’abord eu peur que son accent soit trop
prononcé mais il a travaillé là-dessus et ça passe finalement très bien. C’est
un jeune garçon qui a une bonne bouille, avec qui il a fallu batailler pour qu’il
accepte de se lâcher car, au début, Damien était tout le temps dans le contrôle.
On retrouve également Louise Riguidel Huon qui interprète Léonie, et qui est
aussi très bonne comédienne. Je le constate à chaque fois : c’est un miracle
quand un enfant joue juste. J’en ai tellement vu qui étaient déjà formatés,
artificiels...
Ils sont rejoints cette année par le personnage de Kaskou, interprété par Simon
Torreton, et qui excelle dans l’interprétation de ce personnage aussi drôle
qu’attachant !
Ces enfants généralement connaissent l’univers de Ducobu
avant de tourner le film ?
Oui, à 95% ! Ils ont lu les BD ou vu les films précédents.
Je crois que cette histoire et ces personnages sont devenus cultes avec le
temps et sont ancrés dans la culture des enfants. C’est fou !
Vous retrouvez quant à vous le rôle de Monsieur Latouche, ce
professeur irascible qui vit un vrai bouleversement puisqu’il va
se marier !
Nous voulions le faire un peu évoluer et c’est vrai que son mariage avec Mlle
Rateau est un tournant.
Nous avons suivi l’évolution de leur histoire d’amour au fil des différentes aventures de Ducobu, et cette fois, ils vont enfin se dire oui !
J’aime de plus en plus ce personnage de Latouche. Il a toutes les qualités et tous
les défauts que j’aime : il est radin, hystérique, lâche, colérique, menteur, etc…
Face à lui, nous avons imaginé une Mlle Rateau ivre de jalousie en voyant arriver
au collège une séduisante prof de sport incarnée par Caroline Anglade.
Pour Emilie Caen, qui l’incarne à nouveau, c’est aussi une partition nouvelle et
elle est très drôle dans ce registre de la jalousie.
D’autant qu’elle doit aussi faire face à Maman Latouche, la
redoutable mère de son promis : un personnage que vous jouez
aussi et qui est de plus en plus épouvantable !
Elle est en effet de plus en plus dingue et effrayante ! Cela nous a permis de
tenter des enjeux sans doute un peu plus adultes que dans les autres films.
Évidemment, nous avons d’abord pensé aux enfants puisque cette histoire est
faite pour eux avant tout, mais nous nous sommes aussi fait un peu plaisir et
Maman Latouche incarne un peu cela.
Je l’adore : elle mériterait presque un spin-off !
On retrouve aussi les parents de Ducobu et Léonie, toujours
incarnés par Frédérique Bel et Loïc Legendre.
J’ai toujours beaucoup de plaisir à les mettre en scène. Ils sont tous les deux
formidables : ce sont des personnages colorés, marrants, joyeux... Cette fois,
c’est le Directeur de l’école qui prend un peu plus de place, interprété par
François Levantal. C’est un comédien qui me fait mourir de rire : à chaque fois
que nous avions une scène tous les deux c’était un vrai moment de jubilation.
Un mot aussi du méchant de l’histoire, le promoteur immobilier véreux, le bien nommé Patrick Moisi, joué par Nicolas Marié.
Je connais Nicolas depuis que j’ai 19 ans... La 1ère fois que j’ai fait du théâtre,
c’était dans une pièce classique mise en scène par Roger Louret avec aussi
Muriel Robin et Nicolas Marié. Nous ne nous sommes jamais perdus de vue
et je l’ai appelé pour Ducobu passe au vert en croisant les doigts pour qu’il
accepte, ce qu’il a fait tout de suite. Ce qui est formidable avec cet acteur, c’est
qu’il est capable de faire le grand écart à chacun de ses rôles ! C’est quand
même un comédien qui a eu un César (ndlr Meilleur acteur dans un second
rôle pour Adieu les cons en 2021) et qui aurait pu nous dire non car c’est un
film pour enfants. Je suis ravi de l’avoir à mes côtés pour ce rôle, il est parfait.
Et puis on retrouve également Gérard Jugnot dans la peau de
Monsieur Kitrish, le mentor de Ducobu, propriétaire du magasin dédié à la triche.
Et cette fois, nous avons voulu le rendre sans doute un peu plus paternel : c’est
un peu comme si Kitrish passait le flambeau à Ducobu. C’est toujours un vrai
plaisir de tourner avec Gérard. D’une manière générale, j’ai une nouvelle fois
passé un excellent moment avec mes comédiens : nous avons beaucoup ri mais
aussi beaucoup travaillé car faire un film de ce genre c’est vraiment un métier
sérieux, quoi qu’en pensent certains !
LE BILAN D'UN ÉCO TOURNAGE
Moins d’impression papier
• Moins de consommation numérique
• Une alimentation bio, locale et de saison
• Moins de plastique
• Moins d’eau gâchée
• Des achats responsables et raisonnés
• Tri systématique des déchets
• Le recours à de la mobilité douce
• Une compensation carbone en fin de tournage sur un projet d’agroforesterie – OCO
LISTE ARTISTIQUE
ÉLIE SEMOUN LATOUCHE et MAMAN LATOUCHE
ÉMILIE CAEN RATEAU
FRÉDÉRIQUE BEL ADELINE
LOÏC LEGENDRE HERVÉ
CAROLINE ANGLADE FIONA
GÉRARD JUGNOT KITRICH
DAMIEN PAUWELS DUCOBU
LOUISE RIGUIDEL HUON LÉONIE
FRANÇOIS LEVANTAL LE DIRECTEUR
NICOLAS MARIÉ PATRICK MOISI
LISTE TECHNIQUE
UN FILM DE ÉLIE SEMOUN
PRODUIT PAR ROMAIN ROJTMAN
SCENARIO, ADAPTATION ET DIALOGUES GUY LAURENT, ÉLIE SEMOUN ET MARC DE CHAUVERON
D’APRES LA BANDE DESSINEE L’ÉLÈVE DUCOBU DE GODI ET ZIDROU
publiée par LE LOMBARD
MUSIQUE ORIGINALE MATTHIEU GONET
DIRECTEUR DE LA PHOTOGRAPHIE THOMAS RAMES
CONSEILLER TECHNIQUE JEAN-ANDRÉ SILVESTRO
SCRIPTE ÉLISABETH ALEXANDRIS
DÉCORS TOM DARMSTAEDTER
MONTAGE SANDRO LAVEZZI
SON PASCAL JASMES, OLIVIER MORTIER ET RAPHAËL SEYDOUX
COSTUMES FRÉDÉRIQUE LEROY
CASTING MARIE FRANCE MICHEL
DIRECTRICE DE PRODUCTION SOPHIE CASSE
DIRECTRICE DE POST-PRODUCTION FAUSTINE PERRIO
UNE COPRODUCTION FRANCE-BELGIQUE
LES FILMS DU PREMIER
LES FILMS DU 24
UMEDIA
EN COPRODUCTION AVEC TF1 FILMS PRODUCTION
AVEC LE SOUTIEN DE CANAL+
AVEC LA PARTICIPATION DE CINÉ+ TF1 TMC
ET AVEC LA PARTICIPATION DE WALLIMAGE (LA WALLONIE)
TOUS DROITS D’EXPLOITATION UGC*
© 2023 - LES FILMS DU PREMIER – LES FILMS DU 24 – UMEDIA - TF1 FILMS PRODUCTION
Photos © Marc Bo
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